Biosimilaires Canada a compilé une liste de nouvelles canadiennes et internationales au sujet des médicaments biosimilaires, qui pourraient intéresser les lecteurs. Les liens suivants vers des sites internet de tiers sont indiqués aux fins d’information uniquement; ils sont le reflet de l’approbation de leur contenu par notre organisation. Les déclarations et communiqués de presse de Biosimilaires Canada sont accessibles ici.
À compter du 15 décembre 2021, seuls les biosimilaires de LovenoxMC énoxaparine et Lovenox HPMC énoxaparine seront remboursés par le régime public d'assurance médicaments du Québec. Les patients déjà traités avec Lovenox ont jusqu'au 12 avril 2022 pour faire une transition vers un biosimilaire.
Cette présentation du Conseil d'examen du prix des médicaments brevetés (CEPMB) au Symposium de l'ACMTS 2021 compare le marché canadien émergent des biosimilaires à celui d'autres juridictions et évalue l'impact des initiatives récentes et à venir de transition vers les biosimilaires, en soulignant le potentiel d'économies de coûts.
L'équipe de consultation en pharmacie de Telus Santé examine comment les régimes publics d'assurance médicaments contribuent à l'adoption des biosimilaires au Canada. Troisième de la série.
Ce rapport de l'Institut canadien d'information sur la santé (ICIS) révèle que l'adoption des biosimilaires a continué d'augmenter en 2020, mais que les médicaments biologiques de référence ont continué de représenter la majorité des dépenses en médicaments. Lorsque des biosimilaires étaient disponibles pour les produits biologiques de référence, ils représentaient 28,5 % des dépenses en produits biologiques en 2020, contre 16,1 % en 2019.
Les gouvernements provinciaux canadiens adoptent les uns après les autres des politiques de remplacement des médicaments biologiques par leurs versions biosimilaires, lorsque c’est possible. Les assureurs privés suivront-ils la même voie?
Les dépenses des régimes d’assurance médicaments publics et privés augmentent fortement depuis plusieurs années, notamment en raison des médicaments biologiques, dont plusieurs coûtent très cher. L’arrivée de versions biosimilaires pourrait changer la donne.